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Lachlan ▬ Wsh.

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Lachlan Ó Dubhghaill
Lachlan Ó Dubhghaill
Lachlan Ó Dubhghaill
Messages : 2
Date d'inscription : 25/01/2018
Jeu 25 Jan - 20:53
  • Ó Dubhghaill
  • Lachlan
  • 28 ans
  • Masculin
  • Écossaise
  • Veuf
  • Faucheur rebelle
  • Tmlp
▬ ft. personnage de Badou Nails/ Dogs Bullets and carnage

Carnation : Pâle
Taille : 1m97
Corpulence : Assez cadavérique
Cheveux : Roux, longs, lisses
Yeux : Vert-bleu
Signe(s) distinctif(s) : Des taches de rousseur près de son nez, son œil manquant, son bras déficient, et bien d’autres
Caractère

T’as jamais été quelqu’un de patient. T’as toujours voulu tout tout de suite, même si t’en avais pas les moyens. Tu de débrouillais. Tu te débrouillais toujours. Histoire de ne pas non plus trop manquer. Le vol c’est peut-être mal, mais parfois nécessaire. Tout comme la violence, même si tu n’en es pa spécialement fan non. Tu l’utilises juste quand il le faut. Ce n’est pas une question de puovoir, t’en a rien à foutre du pouvoir en fait. Tu veux juste que les choses soient…Justes. T’aimerais surtout qu’on te foute la paix et de pouvoir vivre tranquillement, mais c’est un peu raté. T’aurais juste voulu une famille tranquille, mais depuis t’es plutôt révolté.

Tu la ferme rarement, t’hésites pas en fait à dire tout ce que tu veux, tout ce qui te passe par la tête et que tu trouves utile. Tu réfléchis de temps en temps oui. Pas énormément. Mais tu le fais. C’est pas ton but de faire chier les gens, non. Mais tu sais que tu le fais. Et ça ne te dérange pas plus que ça. Tout simplement parce que t’es un peu égoïste. Clairement. Tu l’es devenu avec le temps. Et c’est vrai que c’est beaucoup plus plaisant. Nettement plus plaisant. Si seulement t’avais connu ça avant. Si seulement tu l’avais démontré avant, tout irait bien mieux.  Mais t’es impulsif, c’est plus fort que toi.

War

T’es né dans le chaos, t’es mort encore plus dans le chaos. T’étais pas désiré, tu le sais, mais pas haïs non plus.  Une bouche en plus, à nourrir dans des temps pareil, juin 1916, c’était pas la joie. Tu te souviens, parfaitement bien avoir passé plus de temps dans les sous-sols qu’autre part, à l’abri de tout ce qui pouvait se passer dehors. Ton père était absent, bien trop souvent, puis il a fini par ne plus jamais revenir. Mais tu l’avais tellement peu vu, connu, que tu t’en étais pas trop formalisé. Et puis tu n’étais pas bien grand non plus. Puis quand t’as été à l’école, c’était pratiquement le cas de tout le monde.

La vie avait repris son cours, difficilement après cette guerre. Tout se remettait en place, mais au début, le monde était craintif, dont toi.  Pourquoi faire exception, alors que même si tu étais très jeune, tu te souvenais encore de chaque bruit qui pouvait annoncer un quelconque avion, un quelconque bombardement. Mais dix ans plus tard, même quinze, il n’ y avait plus rien. Juste de la vie. Une vie dont tu voulais profiter bien évidemment, le plus possible. Même si ta mère restait tout le temps à l’intérieur, qu’elle te disait de faire attention, de revenir à des heures précises. Tu suivais ce qu’elle te disait, un temps. Puis ta jeunesse avait pris le dessus tu voulais profiter, profiter même si vous étiez sur la paille, juste profiter de la vie.

Et c’était à l’école, que tu l’avais rencontrée, Lidwinn. Tu l’avais connue en la défendant même. Vous vous ressembliez, vous aviez le même roux éclatant, toi courts, elle longs. Les deux aussi lisses l’un que l’autre. Ca ne s’était pas fait tout de suite, mais très rapidement. En même temps aucun de vous deux n’avait envie de perdre du temps, à 19 ans vous étiez déjà mariés, l’année d’après, vous aviez votre premier enfant. Quatre belles années. Qui s’assombrirent petit ) petit avec les nouvelles, une autre guerre se préparait, et tu le sentais venir, tu ne devrais pas sagement rester dans ta cave cette fois. Mais t’espérais, t’espérais qu’elle n’allait pas vous concerner.

Sauf que fin 39, on t’avait demandé, on t’avait demandé à te préparer, et tu pouvais pas trop discuter. Pas du tout même. T’y étais allé à contrecoeur. T’espérais qu’elle soit rapide, que tu puisses être plus présent que ce que ton propre père avait pu faire, même si ce n’était pas de sa faute. Au début, ça allait encore, être séparé c’était difficile mais les conditions n’étaient pas extrêmes. Mais après deux, trois et quatre ans, c’était devenu pire que l’Enfer. La seule chose qui te faisait tenir, c’était Lidwinn. Lidwinn et vos deux enfants, l’espoir de les revoir.  De pouvoir revivre presque normalement une fois que ce serait fini. Ou alors.

Un éclat, t’avais eu un putain d’éclat dans l’oeil. Au passage une balle dans Le bras, la grande joie. Mais cet handicap, ces handicaps après quelques semaines d’hésitation, ils t’avaient renvoyé. Renvoyé chez toi, ou le semblant de chez vous. Personne osait sortir, au moindre sifflement, les gens allaient se terrer, se cacher tu ne savais où. Mais malgré ça, t’essayais de faire comme si de rien n’était, pour tes enfants surtout, t’essayais de dédramatiser. Le coeur y était, maintenant que t’étais près d’eux.

Sauf qu’un jour y a eu une alerte, plus forte que les autres. Plus inquiétante, il fallait évacuer rapidement, très rapidement. T’avais voulu organiser un minimum. Préparer des affaires, mais avec un oeil et un bras en moins c’était pas des plus facile. T’avais merdé dans la précipitation et tu t’étais pété allègrement la cheville, tu savais presque plus bouger. Tu leur avais dit de partir, de partir sans toi que tu trouverais un moyen de les rejoindre même si tu savais que c’était faux, tu voulais juste les savoir loin. Très loin. Mais ils étaient restés, t’avais beau t’époumoner, Lidwinn voulait rien entendre, et au lieu de vous cacher tu t’étais entêté à hausser le ton. Heureusement, et tu ne savais pas par quel miracle, les gosses avaient préféré se cacher, dans une armoire certes, mais c’était déjà ça.

En quelques secondes ils étaient arrivés, ils avaient commencés à hurler des ordres, tu ne les comprenais même pas. Mais les gestes, ça aidait pas mal. Et ils ne cherchaient pas à négocier. En un instant, ils t’avaient séparé de Lidwinn, et rien que ça, t’appréciais assez peu, tu savais peut-être plus trop bouger, mais tu savais toujours parler et insulter aussi. Là c’était eux qui avaient peu aimé.  Tu t’étais retrouvé avec un flingue entre les deux yeux, ce qui t’avait directement calmé. Pas trop Lidwinn, qui à son tour avait commencé à hurler, et s’était pris un coup à l’arrière de la tête, et là arme ou non sur toi, tu leur avais dit de les laisser tranquille, de s’en prendre à toi s’ils le voulaient, mais qu’ils les laissent partir en paix. Des mots en trop, surtout un, les. Tu t’en rendis compte autant face à la tête de ta femme que par le sourire de certains, comprenant sans doute l’anglais.  Tu n’avais pas pu t’empêcher de regarder l’armoire, et bien évidemment, ils le remarquèrent, en trente secondes, ils étaient en face de toi, définitivement en larmes, alors qu’un haut gradé leur demandait s’ils avaient faim. Question qui t’avais parue étrange. A eux aussi visiblement. Ils avaient répondu honnêtement. Bien sûr qu’ils avaient faim, vous aviez tous faim.

On s’était tourné vers toi avec un autre sourire, comme quoi tu n’accomplissais pas bien ta tâche, que tu devais être celui qui ramenait de quoi nourrir la famille. Et qu’ils avaient un très bon moyen d’y remédier. On te donna un flingue, et durant une demi seconde tu eus l’idée de t’en prendre à eux, mais ils étaient bien plus nombreux, réagiraient plus vite. Et l’ordre avait été simple, tu n’avais qu’à tirer sur Lidwinn, ils s’arrangeraient après pour que tes enfants aient accès aux intestins, boyaux et tout ce qui était mangeable. T’avais refusé, bien évidemment, en deux secondes, on t’avais pris le poignet, et appuyé sur ton doigt qui était machinalement sur la détente. Au moins, c’était dirigé sur ta tempe, droit sur ta tempe.

Tu sais pas pourquoi tu t’es réveillé, sans aucune douleur à la cheville, et t’étais debout, tu pensais que tout était fini, puis tu les as entendu crier, et t’as toujours regretté t’être retourné. Ce qui semblait être ton corps donnait plus l’impression d’être un amas de sang que de chair. Et tenant leur promesse, ils essayaient de nourrir ta famille. T’avais essayé d’attirer leur attention, mais personne te voyait, t’étais bloqué là, ou presque, y avait deux ploucs, au loin qui se disputaient un peu se demandant si tu t’étais suicidé ou non. T’y avais vu une porte, une porte de sortie comme qui dirait. Tu t’étais presque jeté sur eux. Pour les supplier de t’aider, de les aider. Mais ils t’avaient ignoré. Ils t’ignoraient, alors que la situation empirait et ils se rapprochaient beaucoup trop près de Lidwinn. Et des enfants. Ils en avaient apparemment marre d’essayer de leur faire manger tes restes. Ah bah non, ils avaient bien plus intéressant. Et dans la panique, et surtout en ayant très peu envie de les voir se faire sans doute violer, t’avais frappé un des deux cons là qui ne boulaient toujours pas se bouger pour vous aider. Au moins, t’arrivais à les toucher, eux. Et il n’avait vraiment pas l’air heureux lui non plus. Pas le but hein. Alors il avait décidé « d’en finir », et t’avais senti, bien senti que ce n’était pas en aidant ta famille qu’ils allaient en finir, tu t’étais tourné une dernière fois, et t’aurais juré que Lidwinn avait tourné la tête pas vers ses agresseurs, ni vos enfants, ni ton corps, mais bien vers toi. T’aurais tout donné pour la sauver, absolument tout, mais t’avais à peine esquissé un pas, un seul, que t’avais quitté ta maison. T’avais tout quitté, tu te retrouvais dans un endroit beaucoup trop louche, bizarre.

Et on t’avait dit que suite à ton suicide, t’allais te coltiner une vie éternelle, à devoir récupérer celle des gens. Suicide de ton cul oui. T’avais juste tenu ce putain de flingue deux econdes, on t’avais précipité vers leur soi-disant suicide. Mais ils ne voulaient rien savoir. Rien. Et tu ne pouvais rien faire d’autre que de suivre leur merde. Sauf que ton bras t ton œil, ils étaient toujours dans le même état. Et on t’avait déclaré trop handicapé physiquement pour aller sur le terrain dès le début. Génial. On te coltinait aux archives. Aux putains d’archives de merde .Qui est-ce que ça passionnait. Personne. Certainement pas toi. T’avais fait tes études et en plus tu te retrouvais dans cette grosse merde. C’était injuste, trop injuste. Et au fil des années, t’avais entendu parler d’un groupe qui était là depuis un petit temps. Un groupe de rebelles. Et vu ton caractère, tu n’avais pas tardé à y finir dès que tu avais compris que leur existence était bien réelle.Et surtout, on te laissait aller sur le terrain là-bas. Ce qui n’était pas négligeable.

Bouh.
Bouh. Bouh.
Bouh ?
Bouhoubouh.
Lachlan Ó Dubhghaill
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